Inpower - Motivation, Ambition, Inspiration

Des étudiants en médecine qui plaquent tout pour se consacrer à la pâtisserie :On dirait presque le synopsis d’une série Netflix.Pourtant, c’est bien ce qu’ont décidé de faire Charles & Ava, après un épisode particulièrement traumatisant qu’ils ont vécu en quatrième année de médecine.C’est un dilemme auquel ils ont dû faire face : choisir la sécurité, le confort, la reconnaissance sociale ; ou choisir le risque, la passion, la petite voix intérieure ?Au-delà du fait que je trouve cela vraiment inspirant que Charles & Ava aient décidé de se consacrer à leur passion, cet épisode est extrêmement enrichissant car ils partagent pourquoi et comment ils l’ont fait.Parce qu’on peut parfois édulcorer la réalité du « tout quitter pour se consacrer à sa passion » - vous verrez que Charles & Ava avaient un plan bien réfléchi pour y parvenir.Dites-moi en commentaire si vous souhaitez que l’on fasse une partie 2, parce que vraiment, j’ai trouvé cette conversation passionnante.Pour découvrir les coulisses du pod

S’il y a bien une matière que je regrette de ne pas avoir suivi plus longtemps, c’est la philosophie.Sérieux : pourquoi est-ce qu’on ne commence qu’en terminale ?C’est un cours qui apprend à réfléchir, qui apprend à déconstruire, qui apprend à remettre en question.Du coup, ma solution c’est de rencontrer des personnes inspirantes chaque semaine sur ce podcast, et l’invité d’aujourd’hui l’est particulièrement.Fabrice Midal est philosophe et auteur, il a notamment écrit le best-seller « Foutez-vous la paix ». Il utilise ses enseignements de méditation pour partager de la bienveillance, du bon sens, et de la sagesse dans tous ces ouvrages.Fabrice est sans langue de bois, honnête et transparent, c’est le genre de conversation sans artifice que j’apprécie énormément.Car comme dit si bien Fabrice : on n’a pas de raison d’être intimidé par l’autre, alors autant commencer tout de suite à être soi-même.Des clés pour relâcher la pression, pour accepter qui on est, et réussir à savoir ce que l’on veut vraiment : c’est c

En ce moment, je dois avouer, ça me fait du bien de m’entourer de personnes qui font du bien.Et comme on ne peut pas voir grand monde en ce moment, ça aide vraiment de voir des personnes qui nous donnent le sourire sur les réseaux.J’ai découvert Marine il n’y a pas si longtemps – très certainement quand je procrastinais un devoir à rendre et que je me suis perdue sur YouTube – et j’ai regardé plusieurs de ces vidéos à la suite tellement je l’ai trouvé naturelle, positive et rafraîchissante.Et cette conversation me l’a confirmé : Marine est sans filtre, sans faux semblant, fidèle à elle-même, et ça fait du bien.Elle est confiante sans être arrogante, sincère sans être fière, sans filtre sans être hypocrite.Bref, c’est Marine Le Bars – et l’heure qu’on va passer ensemble s’annonce très cool.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Marine sur les réseaux :https://www.youtube.com/c/MarineLB/videoshttps://www.instagram.com/marinelbars/Et pour rejoindre l’aven

21 ans.Et à la tête de plus de 80 000 personnes.Et non, elle n’est pas américaine, lol.Ce parcours incroyable, c’est celui de Léa Moukanas, la fondatrice de l’association Aïda.À 15 ans, quand tout le monde lui ferme les portes des associations dans lesquelles elles souhaitent s’engager car jugée « trop jeune », elle finit par créer la sienne, en hommage à sa grand-mère, Aïda, décédée d’un cancer quelques semaines plus tôt.Et cette envie, cette volonté d’aider les autres et de servir une cause, Léa a réussi à la fédérer au sein de l’association Aïda, ou des milliers de jeunes s’engagent aujourd’hui.Cet épisode est vraiment passionnant et force l’humilité.J’ai beaucoup appris de cet échange avec Léa, et j’espère que ce sera le cas pour vous aussi.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Aïda sur les réseaux :https://associationaida.org/https://www.instagram.com/associationaida/Et pour rejoindre l’aventure MyBetterSelf au quotidien :https://www.instagram.co

Tik Tok, vous, vous en pensez quoi ?Au début, j’étais hyper méfiante, je voyais en Tik Tok l’avènement du divertissement, et je ne voyais pas trop ce que la plateforme pouvait apporter.Au final, en me créant moi-même un compte pendant le confinement pour faire passer le temps avec mon père, j’ai découvert un réseau social ultra créatif et avec des contenus qui m’ont bluffé.Parmi les créatrices françaises qui se sont fait une place de choix sur la plateforme, il y a Rose, 18 ans, qui fédère aujourd’hui plus de 4 millions de personnes sur son Tik Tok.Pourtant, Rose est bien loin du cliché de la « TikTokeuse » que l’on peut imaginer : très consciente des dérives de la plateformes, de l’hypersexualisation des jeunes, de la responsabilité qu’elle a envers sa communauté, Rose m’a vraiment montré que TikTok est en fait comme tous les réseaux sociaux : un trésor de possibilités, qui ne demande qu’à être exploré.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Nouveau ! Les épisodes d’

Posons les bases tout de suite :Dans cet épisode, on va parler contraception et libido.On va aussi parler d’entrepreneuriat, du fait de lancer un projet en parallèle d’un job à côté, et de comment on peut lancer une boîte quand on part vraiment de zéro.Car mes invités sur InPower cette semaine auraient pu être l’un.e d’entre vous : Sandrine et Ludovic me suivaient sur Instagram et YouTube et m’ont contacté à la suite de la série de vidéos que j’ai réalisé sur l’arrêt de la pilule.Ils souhaitaient me parler de l’application qu’ils ont développé, Moonly, pour aider les femmes qui comme moi souhaitaient se tourner vers un mode de contraception sans hormones.Et sans hormones ne signifie pas moins fiable ou plus contraignant : c’est justement pour cela qu’ils ont créé Moonly, pour démocratiser la symptothermie, une méthode de contraception mais aussi, au-delà de ça, de connaissance de soi et de son cycle qui je pense peut être un outil formidable pour chacune d’entre nous.Et les mecs qui liront ces mots : ne passe

 « - Tu fais quoi dans la vie ? »« - Je suis aventurier ».Ça claque de ouf non ?Bon, perso, j’ai jamais rêvé de devenir « aventurière ». En même temps, j’avais pas beaucoup de role models aventurières.Et les roles models, c’est important : c’est ce qui a permis à Matthieu de réaliser qu’il y avait bel et bien des personnes qui vivaient de cette passion qu’est l’aventure, le voyage, le partage.Après avoir parcouru l’Europe à Vélo, fait un Marathon en Corée du Nord (si, si, c’est possible), et de nombreuses autres aventures amatrices juste pour le plaisir, c’est à la fin de ses études que Matthieu se décide : il sera aventurier.Et il décide de commencer cette nouvelle vie avec une expédition hors du commun : rallier le Pôle Sud en Antarctique en solitaire.C’est bon, vous avez envie de cliquer là non ? :))Bonne écoute !Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Nouveau ! Les épisodes d’InPower sont désormais disponibles sur YouTube :https://www.youtube.com/channel/UChG8nxeV

Ça faisait longtemps que je me disais que j’aimerais beaucoup recevoir un de mes professeurs de Sciences Po sur le podcast.J’avais déjà reçu Marie-Laure Sauty de Chalon, ancienne directrice générale d’Au Féminin (l’épisode est juste ici si vous ne l’avez pas encore écouté https://app.ausha.co/app/show/23818/episodes/preview/359213), mais j’ai eu envie de renouveler l’expérience cette année en vous présentant le professeur derrière le cours que j’ai préféré ce semestre – un court sur l’art du Storytelling.Ce professeur, c’est Lorenzo Benedetti, fondateur du Studio Bagel et désormais à la tête de Paradiso, une boîte de production spécialisée dans l’audio.De l’intrapreneuriat, à la création de sa boîte, l’explosion de YouTube et des talents qu’il gérait, à la success story de la revente de sa boîte à Canal +, en passant par des remises en question, des doutes, et de tout quitter pour tout recommencer, cette covnersation avec Lorenzo est riche en enseignements, en humilité et en sagesse.J’espère que l’épisode ser

S’il y a bien un mode de vie qui me fascine, c’est celui des sportifs de haut niveau.Le niveau de discipline, de dévouement, de passion qu’ils dédient à une seule activité est absolument fascinant.Pourtant, je ne peux m’empêcher de me demander : est-ce que l’on est vraiment heureux.se, lorsque l’on consacre sa vie à une discipline ?Ysaora s’est elle aussi posé la question.Et c’est pour cela qu’elle a choisi un parcours vraiment atypique : diplômée de l’ESCP Europe, s’entraînant avec différents coachs à travers le monde, développant des projets qui lui permettent de ne pas se limiter à être seulement escrimeuse professionnelle.Parce que la réalité, c’est qu’il est difficile de vivre de son sport en France, même à très haut niveau ; que la carrière d’un.e sportif.ve est courte ; et qu’elle est faite de hauts et de bas.Ces bas, Ysaora les a vécu, et c’est ce qui a entraîné en elle un déclic.Oui, elle allait vivre de sa passion ; mais elle allait désormais le faire comme elle l’entendait.Et voici comment elle a d

Imagine être passionné.e par un milieu professionnel – qui ne veut pas de toi ?Et vraiment, j’exagère à peine.Laure a toujours voulu être journaliste, mais dans un milieu en particulier : celui de l’e-sport.Un milieu où la femme est considérée beaucoup plus pour son apparence physique que pour ses compétences.Pourtant, cette passion du jeu, Laure l’avait, et malgré les tentatives de découragement de la part de son entourage, malgré les critiques et les insultes qui ont pu lui être adressées à ces débuts – Laure s’est faite une place dans ce milieu.Et même une place de référence, en devenant la présentatrice de la plus grande compétition d’e-sport au monde : la compétition de League of Legends.L’e-sport, c’est aujourd’hui un marché de 120 milliards de dollars, une croissance annuelle de 12%, et milieu qui intéressent de plus en plus les marques.Que ce soit par pure curiosité de ce milieu encore assez mystérieux, ou pour rejoindre notre réflexion avec Laure autour de la persévérance et de la santé mentale, je v

 Ce qui me fait le plus chier en ce moment avec le Covid, c’est de ne plus pouvoir rencontrer du monde.Alors j’écoute encore plus de podcasts que d’habitude.(D’ailleurs, je commence à être à court, si vous avez des podcasts cool à me conseiller, je suis preneuse !)Et surtout, je continue à en enregistrer autant que possible, parce qu’échanger avec de nouvelles personnes, découvrir de nouveaux univers, c’est vraiment ce qu’il y a de plus enrichissant.Grâce à l’invité de cette semaine, j’ai découvert un nouvel univers, celui du stream. Et j’ai découvert un univers fascinant, un univers qui se renouvelle sans cesse et qui ne demande qu’à être exploré.Il n’a pas fallu longtemps à PA, aka Domingo, pour le comprendre, et il est aujourd’hui un des stramers les plus suivis et les plus appréciés de France. Entre deux parties de Fifa avec Grizemann, PA partage son quotidien en stream avec sa communauté autour d’une véritable programmation TV, avec notamment son émission PopCorn, qui rassemble aujourd’hui plus de 20 000

 Si vous avez vu ma dernière vidéo YouTube (j’ai enfin un appartement, youpi !!!!) vous savez que le cours que j’ai le plus apprécié durant mes études, c’est un cours de philosophie.Ce sont vraiment je pense les cours qui vont le plus me manquer.Alors quand j’ai l’opportunité d’avoir des débats philosophies sur InPower : je suis la plus heureuse.Surtout lorsque j’ai la chance d’échanger avec quelqu’un d’extrêmement intelligent, réfléchi et bienveillant – à savoir cette semaine Marc, le co-fondateur de la marque Horace, une marque de cosmétiques naturels pour hommes éthique et inclusive.Ça fait du bien de voir des marques qui font bouger les lignes, ça fait du bien de voir des entrepreneurs sincères et passionnés, et ça fait du bien d’avoir des conversations comme celle-ci, surtout en ce moment.Bonne écoute !Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Nouveau ! Les épisodes d’InPower sont désormais disponibles sur YouTube :https://www.youtube.com/channel/UChG8nxeVTk6jQJyH-

S’il y a bien un cours qui m’a manqué quand j’étais au collège / lycée, c’est celui de la prise de parole en public.J’en ai eu un en première année de Master à Sciences Po, un cours sur la rhétorique – et franchement, ça m’a vraiment aidé à dépasser mes peurs et à améliorer mes prises de parole en public.Je pense que c’est une des clés à la confiance en soi, et à l’affirmation de la place de la femme dans le monde du travail.Et l’invitée d’aujourd’hui, Fanny Dufour, consacre justement sa carrière à aider les femmes à prendre le pouvoir de leur vie professionnelle, de leur vie personnelle et même de leur vie grâce à la prise de parole en public.Si vous avez déjà rougi en prenant la parole en public, si vous avez déjà pensé « J’aurais dû dire ça !! », ou simplement si vous avez besoin d’une bonne dose d’empowerment, cet épisode est pour vous.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Nouveau ! Les épisodes d’InPower sont désormais disponibles sur YouTube :https://www.youtu

Parfois, quand je vois ce que font les – 18 ans sur les réseaux, j’ai peur.Peur du tournant que ça peut prendre, peur qu’ils se retrouvent victimes de ce monde virtuel, peur qu’ils ne suivent pas les bonnes personnes.Et puis je vois des personnes comme Zoé, qui est présente sur les réseaux depuis ses 13 ans, et j’ai de l’espoir.Parce que Zoé au fond, c’est un peu comme une grande sœur : quelqu’un qui nous partage ses envies, ses ambitions, ses réussites ; mais aussi ses moments difficiles, qui partage du vrai, sans filtre, et toujours dans la plus grande bienveillance.C’est facile de voir d’abord ce qui ne va pas sur les réseaux : mais on en oublie souvent de voir ce qui va, de l’inspiration que peuvent partager les jeunes créatrices de contenu, en touchant des personnes de tout âge, de tout milieu social, et en essayant de les aider chaque jour à se sentir mieux et à croire en soi.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Nouveau ! Les épisodes d’InPower sont désormais

S’il y a bien une chose à laquelle je crois vraiment, c’est l’autodidaxie.Et ce n’est pas l’invité de cette semaine qui risque de dire le contraire.Julien n’a jamais fait d’école de cuisine, et pourtant, le voici aujourd’hui, à 28 ans, à la tête de plusieurs restaurants.Dans une société où l’on nous apprend beaucoup à apprendre, mais assez peu à faire et expérimenter ; Julien a décidé de se créer sa propre formation en proposant ses services bénévolement dans des restaurants aux quatre coins du monde.Là, il a pu apprendre auprès des plus grands chefs, et se lancer dans sa propre aventure entrepreneuriale et culinaire en France.Faisant de son hypersensibilité une force, de sa créativité un guide et de ses engagements une priorité, Julien Sebbag a réussi à se faire une place dans un milieu très fermé et nous montre que les rêves peuvent bel et bien se transformer en réalité. Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Julien sur les réseaux :https://www.insta

 Connaissez-vous quelqu’un qui vous ai dit un jour « Tu sais, les études, ce n’est pas le plus important ; ce qui compte, c’est que tu te donnes à fond dans ce que tu aimes » ?On ne me l’a jamais dit, et pourtant, quand je vois mon entourage, ceux qui sont épanouis et ceux qui le sont moins, je me dis que c’est une phrase que l’on devrait tou.te.s entendre lorsque l’on est enfant.Pauline, elle, a fait 10 ans d’études. Sur le papier, c’était le bonheur et la gloire assurés.Pourtant, après avoir obtenu la note de 2/20 à l’oral de l’ENA, et le sentiment d’avoir perdu dix années de sa vie, Pauline se met à se poser les bonnes questions.Je la reçois aujourd’hui à mon micro dix ans plus tard, dix années d’entrepreneuriat derrière elles, beaucoup de succès, quelques échecs et de périodes de doutes, et surtout, beaucoup de bienveillance et de conseils à partager.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Pauline sur les réseaux :https://www.instagram.com/paulinela

Je sais qu’il y a plusieurs visions de l’entrepreneuriat.Celles et ceux pour qui c’est avant tout relever un challenge, le goût du défi et du risques ; et celles et ceux pour qui c’est plus fort que tout, que c’est la passion qui les drive, ou la volonté de répondre à un réel besoin.Je pense que chaque vision a ses points forts et ses points faibles, je me reconnais personnellement plutôt dans la deuxième. Je n’aurais jamais pu créer une boîte dans un domaine qui ne me passionne pas, et si je n’avais pas moi-même rencontré la problématique de trouver des sous-vêtements sans coutures, inclusifs, flatteurs et éthiques.C’est aussi ce qui a poussé Laure et Camille a créé FairlyMade.À peine sortie de leurs études, et peu épanouies dans leurs jobs respectifs, elles se sont dit qu’elles souhaitaient apporter leur pierre à l’édifice d’un domaine qui les passionnaient : la mode, et plus particulièrement, la mode responsable.Alors oui, on peut se dire que c’est « utopique ».Oui, on peut se dire que « ça n’arrive qu’aux

  Il n’y a encore pas si longtemps, les réseaux sociaux étaient un simple moyen de partager sa passion, de s’exprimer, de partager.Alors oui, heureusement, pour beaucoup d’entre nous, c’est toujours le cas.Mais quelque chose a changé depuis que l’on sait que l’on peut en vivre, que ce n’est plus juste « pour le fun ». Car quand Léa a commencé à faire des vidéos, c’était juste pour s’amuser, et mettre en scène les sketchs qu’elle imaginait.Jamais elle ne se serait doutée que quelques années plus tard, elle aurait plus de 500 000 abonnés sur cette chaîne et que c’est désormais une partie intégrante de sa carrière. Pourtant, au cours de ces dernières années, Léa a beaucoup changé et évolué personnellement – et cela se ressent dans le contenu qu’elle partage.De créatrice de contenus humoristiques, Léa est devenue créatrice de contenus engagée. Comment gérer ce changement auprès de sa communauté ? Quelle remise en question cela a-t-il entraîné pour Léa ? Comment s’assurer que l’on est réellement alignés entre nos

  Vous devez le savoir si vous avez écouté cet épisode, mais lancer ma marque a été beaucoup plus difficile que ce que je ne pensais.Il y a tellement de choses qui ne se passent pas comme on l’avait prévu : des délais plus longs que prévus, des stocks incorrects, des personnes qui se trompent dans leurs commandes, une réactivité qui doit être à toute épreuve tout en continuant à développer les prochaines commandes…Du coup, mon respect envers les entrepreneur.e.s ne cesse de grandir. Il faut vraiment avoir une conviction profonde et une réelle passion je pense pour réussir à créer sa boîte, et surtout à la développer, malgré les obstacles.Alors je suis toujours heureuse d’échanger avec des entrepreneur.e.s qui ont déjà quelques années d’expérience, et qui peuvent nous partager leur vécu, leurs succès et leurs échecs, et nous partager les enseignements qu’ils en ont tiré. Que l’on soit entrepreneur.e ou non, parmi toutes les personnes que j’ai pu recevoir sur InPower, je trouve qu’il y a toujours beaucoup de sa

  Vous le savez surement si vous me suivez sur Insta et YouTube, mais je m’intéresse de plus en plus à l’approche holistique.Ça semble tellement évident : la connexion du corps et de l’esprit, pour vivre en harmonie.Si simple, et pourtant parfois si dur à appliquer.Chloé a connu ces difficultés.Elle a connu le fait de vouloir rentrer dans des cases, pour ne pas déplaire à son entourage ; le fait de choisir la sécurité plutôt que de réellement s’écouter.Et un jour, après un burnout, elle a pris le temps de se poser. Et de se demander ce qu’elle souhaitait vraiment faire de sa vie.Aujourd’hui, et seulement quelques années après cette réalisation, Chloé est à la tête de plusieurs entreprises, toutes axées sur le bien-être et la volonté d’aider les autres à s’épanouir. Je trouve que le parcours de Chloé reflète si bien que tout changement extérieur provient avant tout d’un changement intérieur, et que c’est là la porte d’entrée pour prendre le pouvoir de sa vie.Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www