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Musicien, il a collaboré avec les meilleurs chorégraphes québécois. Artiste multidisciplinaire, il a présenté ses travaux partout dans le monde. Romancier et dramaturge, il a signé des œuvres unanimement saluées par la critique. Son travail en arts visuels a depuis longtemps pour thème l’écriture comme matériau visuel et sonore, que ce soit dans Escalier Salammbô, hommage à Flaubert, ses multiples versions et découpages du Petit Robert, ses 2130 pages-miroirs ou Le parc de la langue française. Rober Racine nous dit comment il vit et crée dans la littérature. Animation : Stéphane Lépine Présenté en collaboration avec le Festival international de la littérature (FIL) dans le cadre de la série Arts et lettres Cette rencontre a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 3 mai.

Avec Wissal Ouardani, bibliothécaire à l'Espace Jeunes Présentation d'outils pour développer les compétences des jeunes en matière de recherche. Cette rencontre a eu lieu au Théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 26 avril 2011.  

Montréal est une des villes nord-américaines où la qualité de vie est la meilleure. C'est une ville aux dimensions humaines et ouverte sur le monde. Trois Montréalais livrent leur vision du Montréal que nous laisserons à la prochaine génération. Animation : Norman King, Direction de santé publique de Montréal. Par Daniel Pearl, professeur à l'école d'architecture de l'Université de Montréal et cofondateur de l'Office de l'éclectisme urbain et fonctionnel (L'OEUF), Fanie St-Michel, photographe, et le Dr Louis Drouin, médecin et directeur du secteur Environnement urbain et santé à la Direction de santé publique de Montréal. Présentée en collaboration avec la Direction de santé publique de Montréal dans le cadre de l'Université d'été de Montréal en santé publique 2011. Cette conférence a eu lieu &ag

Pour souligner la Journée internationale du livre pour enfants, un quiz auquel tous, spécialistes et néophytes, peuvent participer! Surprises et prix de participation. Venez célébrer avec nous! Animateur invité : Robert Soulières, auteur et éditeur pour la jeunesse Cette activité hors série du CQRLJ a eu lieu au Théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 29 mars 2011.

Elle a porté la présence scénique à un haut niveau d’incandescence. Ardemment, patiemment, elle a exploré l’imaginaire des femmes et les grands mythes de la création. Pol Pelletier est unique et vitale dans notre paysage théâtral. Comédienne rare, créatrice de solos fiévreux, elle a quitté ce « pays dont la devise est “je m’oublie” » pour aller ailleurs cultiver sa mémoire. Elle est de retour et nous parle de la place de la littérature dans sa vie. Animation : Stéphane Lépine Présenté en collaboration avec le Festival international de la littérature (FIL) dans le cadre de la série Arts et lettres. Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 15 mars.

Présentée dans le cadre de l’exposition du même nom, cette conférence offre une plongée dans l’effervescence culturelle des années 1968-1975 au Québec. Spectacles multidisciplinaires, publications marginales et diverses formes d’écriture se multiplient, proposant une nouvelle culture qui remet en question les valeurs établies. Par Mariloue Sainte-Marie, commissaire de l’exposition du même nom et agente de recherche à la Direction de la recherche et de l’édition de BAnQ. L’exposition Contre-culture : manifestes et manifestations se poursuit à la salle de lecture de la Collection nationale de la Grande Bibliothèque jusqu’au 29 janvier 2012. Cette rencontre a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le jeudi 3 mars.

Alors que Montréal et la région occupent une position dominante dans les sociétés canadienne et québécoise, le monde occidental est aux prises avec la dépression des années 1930, qui débute avec le krach boursier new-yorkais d'octobre 1929 et à laquelle succède la guerre de 1939-1945. En somme, les années qui vont de 1929 à 1945 sont des années de crise, des années d'exception au sens fort du terme, où le cheminement historique auquel on s'attendait est bousculé. Sylvie Taschereau et Magda Fahrni présentent leurs Réflexions sur… les périodes troubles de la Grande Crise et de la Deuxième Guerre mondiale dans la région montréalaise dans une perspective générale, c'est-à-dire qu'elles abordent à la fois les dimensions politiques, économiques, sociales et culturelles de la société montréalaise

Avec Marie-Christine Beaudry, professeure de didactique à l'Université du Québec à Montréal Les étapes du développement de l'enfant lecteur à partir de la naissance. Cet atelier-conférence a eu lieu au Théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 22 février 2011.

Chloé Sainte-Marie incarne les textes de tout son corps, de toute son âme et de toute sa voix sensuelle et chaude. Elle aime la poésie. Elle porte la poésie. Elle chante Gaston Miron, Joséphine Bacon, Patrice Desbiens, Bruno Roy. Plus qu’une interprète, elle est devenue la voix de notre littérature et de quelques-uns de nos plus grands écrivains. Aujourd’hui, elle nous parle des écrivains qui ont fait d’elle la femme qu’elle est devenue et qu’on aime passionnément. Animation : Stéphane Lépine Présenté en collaboration avec le Festival international de la littérature (FIL), dans le cadre de la série Arts et lettres. Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 25 janvier.

Avec les écrivaines Carole Tremblay et Charlotte Gingras. Cette rencontre a eu lieu au théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 18 janvier 2011.

En 1960, le Québec ne se distinguait guère du Canada en ce qui concerne ses dépenses, son système de taxation ou son degré d’endettement. Il avait, semble-t-il, les coudées franches pour entreprendre les actions nécessaires à son entrée dans la modernité. Depuis, les choix politiques ont significativement métamorphosé la comparaison. De profonds changements au sein de nos institutions ont fait de l’État le moteur principal de notre développement social et économique. 50 ans plus tard, le Québec doit-il s’appuyer sur le passé pour relever les défis de l’avenir? Ou, au contraire, la place de l’État, qui a initialement contribué à l’essor de notre société, constitue-t-elle désormais un poids si important qu’elle en freinerait le développement? Conférenciers : Monique Jérôme-Forge

Avec Pascale Grenier, bibliothécaire responsable du Centre québécois de ressources en littérature pour la jeunesse (CQRLJ), des suggestions de premières lectures, de romans, de textes illustrés et de BD pour les parents et les enseignants qui souhaitent encourager les 6 à 13 dans leurs parcours de lecteurs.   Cette rencontre a eu lieu au théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 7 décembre 2010.  

Le réalisateur de la trilogie sur la foi, l’espérance et la charité composée de La neuvaine, de Contre toute espérance et de La donation entretient des liens intenses avec la littérature. Dans l’ouvrage paru sous le titre La perte et le lien, il aborde Camus, Sartre, Beauvoir, Péguy et plusieurs autres écrivains qu’il aura l’occasion d’évoquer plus longuement au cours de cette rencontre. Animation : Stéphane Lépine Production : BAnQ et le Festival international de la littérature (FIL) Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 30 novembre.

Au XXe siècle, l’aménagement du territoire montréalais se poursuit avec des moyens et des possibilités qui amènent à considérer les opportunités et les contraintes spatiales autrement qu’aux siècles précédents. Le travail de mise en réseau (routier, particulièrement) de la région s’effectue avec une intensité inégalée pendant la période de l’après-guerre. En l’an 2000, Montréal, la ville-centre, autrefois plus populeuse que toutes les villes de la région réunies, n’accueille plus que le tiers de la population régionale, et le territoire urbanisé (en continu) s’étire sur une superficie de quelque 100 km de circonférence. Conférenciers : Claire Poitras (INRS-UCS) et Gilles Sénécal (INRS-UCS) Animation : Dany Fougères (INRS-UCS). Présentée en collabor

Pendant la Révolution tranquille, une question s’est posée avec une franchise inouïe : celle de l’avenir des Canadiens français (soudainement devenus des Québécois) dans la fédération canadienne. Le nationalisme est devenu plus moderne, moins passéiste. Les formules se sont multipliées : statut particulier, États associés, indépendance pure et simple. La question constitutionnelle s’est imposée avec force. Non résolue et maintenant absente de l’ordre du jour politique, elle pourrait un jour rattraper les Québécois, dont le poids diminue au sein de la fédération. Conférencier : Marc Laurendeau, journaliste et chroniqueur à Radio-Canada Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 9 novembre 2010. Présentée en collaboration avec l’Université du Québec &a

Avec le dramaturge Simon Boulerice, la romancière Christiane Duchesne et le poète Guy Marchamps. Organisé dans le cadre du colloque « Les genres littéraires en littérature pour la jeunesse » de l’UQAM Cette rencontre a eu lieu au théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 26 octobre 2010.

La Révolution tranquille est le théâtre d’un étrange procès : celui de la culture canadienne-française, dont on découvre au cours des années 1950 et 1960 qu’elle aurait été à la source des déboires de la collectivité. On n’en finira plus de s’abattre sur la religion, le clergé, la tradition et le régime duplessiste. C’est sans relâche que l’on refera l’histoire de nos misères et de nos défaites. Émerge, en même temps, un discours entièrement tourné vers l’avenir, plein de promesses d’émancipation. Mais, entre ce rejet du passé dont on égrène les manquements et l’ivresse des sommets qu’annonce la Révolution tranquille, n’y a-t-il pas un étrange divorce d’avec soi-même? La culture des années 1960 s’érige-t-elle paradoxa

La Révolution tranquille a permis la création de l'État et la modernisation accélérée de la société québécoise. Mais elle est restée inachevée, parce qu’on ne l’a pas poussée jusqu’à son aboutissement logique, la création de richesse nécessaire pour soutenir l'édifice que l'on venait d'ériger. Et elle a été détournée, parce que la sacralisation de ses réalisations a engendré une nouvelle orthodoxie, source de paralysie. Nous sommes des héritiers de la Révolution tranquille, mais nous sommes aussi ses victimes qui payons encore le prix de ses effets pervers. Cette conférence d’Alain Dubuc, économiste, journaliste, chroniqueur et éditorialiste au quotidien La Presse, est la première de la deuxième partie de la série La Révolution tranquille - 50 ans d’h&e

Sur le plan économique, la région de Montréal se distingue par son capital physique, financier et humain, mais aussi par sa situation géographique. Cette région a évolué de pair avec l’économie mondiale où se sont succédé, depuis l’après-guerre, les Trente Glorieuses, puis des périodes de ralentissement, de récession et de reprise économique. Animation : Dany Fougères (INRS-UCS) Conférenciers : Mario Polèse (INRS-UCS) et Richard Shearmur (INRS-UCS) Présentée en collaboration avec l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) dans le cadre du projet Histoire de la région montréalaise des origines à nos jours. Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le 7 septembre 2010.

En médecine, l’évaluation du risque repose sur une probabilité, sur l’estimation du nombre de personnes qui, dans une population donnée, attraperont une maladie. Pour les citoyens, le risque s’inscrit dans un choix quotidien délibéré qui part d’un jugement sur les avantages et les inconvénients d’une action donnée. À la fin de 2009, la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 a permis de protéger presque 60 % de la population québécoise (avec un taux de près de 80 % chez les jeunes enfants) alors qu’elle n’a pas atteint 10 % de la population en France, du jamais vu dans le domaine de la santé publique. Quels sont les ingrédients de ce succès (ou demi-succès)? Quelles sont les forces en présence et comment se combattent-elles ou se complètent-elles? Que doivent retenir pour l’avenir les citoyens, les autorités de