Littérature

durée : 00:55:43 - Samedi fiction - Le grand-père de l’autrice Célia Houdart fut au début du XXe siècle l’un des directeurs artistiques de l’Aeolian Company, une firme américaine de pianos mécaniques. C’est lui qui a inspiré ce journal intime fictif à la fois poétique et musical dans lequel on croise Ravel, Stravinsky et Diaghilev.

durée : 00:20:00 - Lectures du soir - " J’ai changé d’avis à la suite d’une nouvelle scène avec Solange. Je la mettrai donc en pension et en y songeant bien, c’est le seul parti convenable. Il n’est point, selon moi, de pire institutrice qu’une mère ! "

durée : 00:28:56 - Le Feuilleton - Mme de Clèves va-t-elle résister à la crise morale que sa passion pour M. de Nemours a déclenchée en elle ?

durée : 00:19:52 - Lectures du soir - " Marie d’Agoult à propos de Solange : « Sa vie sera pleine de luttes et de combats. Solange ne se pliera pas aux règles communes, il y aura de la grandeur dans ses fautes, de la sublimité dans ses vertus. "

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - M. de Clèves connaît le nom de son rival et il est blessé au cœur lorsqu’il apprend que celui-ci s’est rendu à Coulommiers où se trouve Mme de Clèves.

durée : 00:20:05 - Lectures du soir - " Ma fille est une beauté majestueuse et son caractère est celui d’une impératrice absolue. Elle est fort dédaigneuse de l’espèce humaine en général. Elle est très supérieure à son frère mais bien moins aimable. "

durée : 00:27:42 - Le Feuilleton - Mme de Clèves vient d’avouer à son mari qu’un homme a su toucher son cœur, sans lui dire de qui il s’agit.

durée : 00:19:58 - Lectures du soir - " Qu’est-ce que c’est que cet amour des mères ? C’est encore une chose mystérieuse pour moi : sollicitude, inquiétude cent fois plus vives que dans l’amour d’une amante et pourtant moins de joie et de transport dans la possession. "

durée : 00:28:31 - Le Feuilleton - M. de Nemours a volé un portrait de Mme de Clèves et elle l’a laissé faire, sans rien oser dire.

durée : 00:20:08 - Lectures du soir - Solange Dudevant naît un Nohant, en Berry, le 13 septembre 1828. Sa mère, la future George Sand, s’appelle Aurore Dupin, elle a 24 ans. Elle est mariée à Casimir Dudevant dont elle a déjà un fils, Maurice, âgé de cinq ans. Le couple est assez désuni.

durée : 00:27:51 - Le Feuilleton - A la cour d’Henri II, Mademoiselle de Chartres vient d’épouser M. De Clèves. Elisabeth, la reine d’Angleterre, a des vues sur Monsieur de Nemours.

durée : 00:29:23 - Fictions / Théâtre et Cie - "Amour encore et toujours..."

durée : 00:56:45 - L'Atelier fiction - Dans Doreen, André Gorz cherche à reconstituer l’histoire de son amour pour sa femme, et nous invite ainsi à partager l’intimité d’un couple de plus de 58 ans de vie commune.

durée : 00:20:01 - Lectures du soir - " On ne sait jamais soi-même ce qu’on fait ni ce qu’on vaut. Tu as les qualités du trop vrai, du trop bien observé et du trop bien entendu. Tu en as d’autres ! Des facultés d’intuitions, de grandes visions, de vraie puissance, qui sont bien supérieures ! "

durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - " Elle savait qu’il la regardait. Elle le regardait elle aussi. Et puis à la fin elle ne l’avait plus vu. Le port s’était effacé et puis la terre."

durée : 00:19:51 - Lectures du soir - " Août 1870 : Es-tu à Paris ? Au milieu de cette tourmente ? Quelle leçon reçoivent les peuples qui veulent des maîtres absolus. France et Prusse s’égorgeant pour des questions qu’elles ne comprennent pas. Nous voilà dans de grands désastres. "

durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - " Son corps est souple, il part tout entier dans la jouissance comme s’il était grand, en âge, il est sans malice, d’une intelligence effrayante."

durée : 00:19:55 - Lectures du soir - " Le mot pignouf a sa profondeur, il a été créé pour le bourgeois exclusivement, n’est-ce pas ? Sur cent bourgeoises de province, quatre-vingt-dix sont pignouflardes, et même avec de jolies petites mines qui annonceraient des instincts délicats."

durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - " Parfois je ne rentre pas à la pension, je dors près de lui. Il me douche, il me lave, il me rince, il adore, il me farde et il m’habille, il m’adore. "

durée : 00:20:14 - Lectures du soir - " J’éprouve une répulsion invincible à mettre sur le papier quelque chose de mon cœur. Je trouve même qu’un romancier n’a pas à exprimer son opinion sur quoi que ce soit. Est-ce que le bon Dieu l’a jamais dite, son opinion ? "