Bonjour Ppc

Ca ne t’a pas échappé, le travail en mode hybride a changé beaucoup de choses. L’unité de lieu, l’unité de temps, les routines quotidiennes, le train-train du métro-boulot-dodo, tout cela a été profondément secoué. Et toi là dedans, tu as perdu tes marques ? Tu as eu du mal à te faire à ce nouveau mode de fonctionnement quotidien où tes habitudes et tes routines ont été bousculées ? Tu as réussi à retrouver un rythme ? Ou tu es encore sous le choc et tu peines à reprendre la main sur ton quotidien ? Et avec tes collègues, ça se passe comment ? Tu arrives à te synchroniser dans ce ballet du en même temps avec ceux qui sont en présentiel, et avec ceux qui sont en distanciel ? Et ton manager, il s’y prend comment pour ramener une cohésion dans cet environnement de travail en profonde mutation ? Il s’y prend comment pour mettre en place une cohésion d’équipe permettant à chacun de trouver sa place et d’exprimer son talent au service des projets et du collectif ? Pas simple ? Pour bien comprendre ce qu

Selon Wikipedia, le leadership est l’influence politique, psychologique, sociale d'un individu sur un groupe d'individus ou d'un groupe d'individus sur un autre groupe. Le leader a des compétences personnelles qui lui confèrent une différence et qui lui permettent d'être écouté et suivi par un groupe de personnes.

Depuis quelques années, on parle aussi de leadership au féminin. Nos amis de Wikipedia nous expliquent aussi que le leadership est dit féminin car on y ajoute une « touche féminine », parce que la manière de communiquer des femmes est différente de leurs homologues masculins. Les femmes serait plus diplomates, plus à l’écoute de leurs compères, favorisant un échange et une remise en question beaucoup plus développée. 

Cerise sur le gâteau ? Selon de nombreuses études, les performances d’une entreprise seraient accrues quand cette dernière est dirigée par une femme. 

Pour bien comprendre les grands enjeux, les bonnes pratiques et les perspectives du leadership au féminin à l’ère digitale, à cette

Prendre du recul, se poser les bonnes questions, oser. Prendre du recul, se poser les bonnes questions, oser. Ça peut peut-être te paraître un peu complexe si tu es pris ou si tu connais des personnes prises dans le maelström des réseaux sociaux, dans la dictature de l’info en continue, dans le piège du Fear of Missing Out (la peur de rater quelque chose), dans la roue sans fin du scroll infini, dans le miroir déformant du like, du love, du retweet, dans le tout à l’ego du nombre de followers, de faux lovers ou encore des vanity metrics du nombre d’écoutes de ton podcast, du nombre de vues de tes vidéos YouTube, du nombre de tes abonnés à ta newsletter… 

Prendre du recul, se poser les bonnes questions, oser… Et si on profitait de cet épisode du podcast, pour se faire du bien, pour reprendre la main et pour suivre sa vraie nature à l’ère du digital ? 

Bonne pioche, on en parle dans cet épisode avec Sébastien Millécamps, conférencier et auteur de l’ouvrage “Suivez votre vraie nature, l’énergie Tête, Cœur, Cor

Selon la définition empruntée au Dictionnaire Larousse, le bureau est « le lieu de travail des employés d'une administration ou d'une entreprise ». Le bureau au sens traditionnel du terme est donc avant tout une unité de lieu où l’on travaille. Le bureau de demain va-t-il faire voler en éclat cette définition qui peut sembler désuète à l’ère du télétravail généralisé, à l’ère du travail en mode hybride, en physique dans l’entreprise, à distance de chez soi ou dans des tiers lieux ? Et au delà de cette définition qui vient du siècle passé, quels sont les enjeux de demain pour les entreprises, pour les collaborateurs et les managers ? Et si on redéfinissait le bureau au delà du simple lieu, mais avec comme clés de lecture le temps et l’espace ? Et une fois qu’on a dit ça, on fait quoi ? Pour tout savoir de ce qui se trame avec le bureau de demain à l’ère du travail hybride, l’invité du podcast est Benoit Meyronin, directeur de la stratégie chez KORUS, spécialiste de l’aménagement d’espaces professio

Cela ne t’a probablement pas échappé, le pli que nous avons pris dans les années 1950 en matière de consommation n’est aujourd’hui plus tenable. A force d’enchainer les 4 phases « Extraire-Produire-Consommer-Jeter » qui constituent malheureusement encore la règle actuelle de notre économie, nous sommes en train de détruire notre planète. Et s’il existait une autre voie pour sortir de cette fuite en avant infernale ? Et si on choisissait plutôt l’économie circulaire, cette économie plus responsable qui s’éloigne du « Extraire-Produire-Consommer-Jeter » pour préférer le cercle vertueux du « Récupérer - Produire - Consommer -Réemployer »  ? Et lorsqu’on travaille pour une marque, on fait comment pour parvenir à mettre en oeuvre cet autre modèle ? On fait comment pour s’inscrire dans cette nouvelle logique, pour la proposer à ses clients, pour trouver des partenaires en amont comme en aval de cette chaîne économique plus durable ? On fait comment et ça peut changer quoi dans son business model ?  Ça permet de cha

Tu as remarqué comme on peut passer à coté de l’essentiel au bureau parce que l’on est pris dans nos habitudes, dans nos façons de faire, dans notre habitude de tout chercher à formaliser, à rationaliser, à mettre en tableaux, à mettre en reporting, à poser en Power Point, et parfois en pauvres points ? Et si le fait de se concentrer, de se focaliser sur le formel nous empêchait de voir l’essentiel, de mieux sentir les signaux faibles, de voir ce que nous ne voyons pas, voir ce que nous ne voyons plus ? Pour bien comprendre ce que ça change de voir l’invisible, et comprendre comment s’y prendre pour retrouver de bonnes clés de lecture, l’invité du podcast est Vincent Caltabellotta, CEO et fondateur de Yoomonkeez, auteur et conférencier. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles, c’est ici https://smartlink.ausha.co/ledigitalpourtous

Selon Wikipedia, le marketing est un ensemble de méthodes et moyens dont dispose une organisation pour créer, révéler et promouvoir de la valeur pour ses publics cibles en vue de réaliser ses objectifs. On le voit, avec cette définition, le sujet est large, les champs de son execution sont multiples. Si c’était plutôt simple au siècle dernier d’exercer le métier de marketeur, c’est devenu beaucoup plus complexe aujourd’hui notamment parce que les publics ont changé, sont pluriels et changent d’avis en permanence. Les moyens pour toucher ces publics ? Ils sont de plus en plus nombreux. El les nouvelles technologies là-dedans ? Les nouvelles technologies ont vraiment changé la donne. La data est devenue un outil incontournable, mais elle demande une sacrée expertise et la concurrence est féroce. Et le digital ? Le digital a, quant à lui, donné de nouvelles opportunités aux as du marketing direct. Ils ne jurent plus que par le SEO (Search Engine Optimization), le ciblage comportemental, l’Inbound Marketing

Quand on parle des notifications sur mobile ou sur nos ordinateurs lors d’un déjeuner entre amis, lors d’un café entre collègues, il y a généralement deux groupes qui se détachent. Un groupe de ceux qui détestent les notifications et qui vont même jusqu’à les couper pour reprendre la main sur leur temps, sur leur concentration… et un groupe de ceux qui adorent les notifications parce que ça leur permet de ne rien oublier, d’être alerté pour les choses qui sont importantes pour eux. Et dans la relation avec les marques ? Ca fonctionne comment les notifications que l’on peut recevoir sur son téléphone ou via son navigateur web, voire via son système d’exploitation ? Et à l’ère du consentement, du respect du consommateur avec le RGPD, ça change quoi dans le modèle pour les publicitaires, les régies et les consommateurs ? Pour y voir clair et bien comprendre, l’invité du podcast est Edouard Ducray, le fondateur de la startup Adrenalead, un spécialiste bien connu dans le secteur de l’AdTech. Si ça te dit d

Les RP. Derrière cet acronyme se cache deux mondes. Le monde des Relations Presse et le monde des Relations Publiques. Il y a 20 ans, le monde des RP, des Relations Presse était plutôt simple. Des attachés de Presse, généralement sortis de l’EFAP, l’Ecole Française des Attachés de Presse ou d’autres écoles spécialisées étaient les points de contact entre une marque, une entreprise et les journalistes. En règle général, ces attachés de Presse suivaient la vingtaine de journalistes importants pour la marque ou l’entreprise. A cet époque, la relation entre les attachés de Presse et ces journalistes était soigneusement entretenue par des contacts réguliers, l’envoi de communiqués de Presse, des échanges par téléphone, voire des déjeuners ou des petits déjeuners presse pour échanger sur l’actualité de l’entreprise ou de la marque, et bien comprendre la ligne éditoriale du journaliste et ses prochains sujets à boucler. La relation était basée sur la confiance, la relation, le temps long et le respect de chacun poin

C’est bien connu, en business to business, le cycle de vente est différent de la vente aux particuliers, de la vente en business to consumer. En B2B, le cycle de vente est plus long, plus complexe, plus rationnel aussi dans la façon de vendre… et dans la façon d’acheter. Et pourtant, si les femmes et les hommes sont omniprésents dans toute la chaîne de ventes et d’après-ventes, on a parfois l’impression que seul le rationnel l’emporte. La vente en B2B ne serait-elle qu’une histoire rationnelle ? Et l’expérience client alors, on en fait quoi en B2B ? Si celle-ci est pourtant bien présente, on a parfois l’impression qu’elle est assez oubliée dans les process de ventes et de relation commerciale en business to business. Et si on ré-inventait l’expérience client en B2B ? Pour comprendre ce que ça change de passer de la relation client à l’expérience client en Business to Business, l’invitée du podcast est Céline Forest, spécialiste reconnue de l’expérience client, élue personnalité de l’année 2019 et auteur

Ca ne t‘a pas échappé, la techno est partout. Depuis 30 ans la techno s’est infiltrée partout dans nos vies. Petit à petit, pas à pas. Au fil du temps, nous avons vu fleurir avec les nouvelles technologies des nouveaux usages, des nouvelles habitudes, des nouveaux modèles aussi. Que tu sois génération X, Y, Millenials ou encore Gen Z, il nous est de plus en plus difficile, voire impossible pour certains, de nous souvenir du jour où nous n’avons pas été en contact avec un objet technologique, avec un outil numérique. Quels sont les impacts sur nous tous liés à ces mutations technologiques ? Et si, pour mieux comprendre, on se faisait un petit revival des technos ? Un petit revival de nos meilleurs souvenirs aussi ? Pour reprendre un coup de jeune et bien comprendre l’impact de ces mutations technologiques, l’invité de cet épisode du podcast est Philippe Dewost, le Directeur Général d'EPITA et l’auteur de l'ouvrage "De Mémoire Vive" paru aux éditions « Première partie ». Si ça te dit d'écouter to

Quand les vieilles pierres rencontrent les réseaux sociaux, qu’est ce que ça change ? Ca change quoi cette alliance entre le patrimoine, la culture, l’histoire et les réseaux sociaux ? Ca change quoi quand des monuments chargés d’histoire, des lieux qui ont l’habitude du temps long rencontrent la vitesse folle des réseaux sociaux, ses buzz, ses trolls et aussi des personnes pour qui, le fil de lieux historiques, leurs comptes Instagram, TikTok et autres chaînes sur YouTube constituent un havre de paix, une parenthèse de petits bonheurs culturels dans ce monde du toujours plus vite, du toujours plus clash, du toujours plus quelque chose. Et ça change quoi pour celles et ceux qui sont de l’autre côté de l’écran ? Pour celles et ceux qui exercent le métier de Community Manager pour les sites historiques ? C’est vraiment très différent du CM pour une marque classique ? Ca demande un savoir-faire et des réflexes différents ? C’est plus exigeant en matière de contenus ? Pour bien comprendre le community manageme

Ça fait pas mal de temps que j’avais envie de te parler de ce sujet. De te parler de ce sujet que certains et certaines n’osent pas aborder : le retard à l’allumage en ce qui concerne notre capacité à s’emparer du web, du digital et des nouvelles technologies en général. Pour te mettre à l’aise, je vais t’avouer deux choses. La première c’est que je me suis mis au digital et à l’internet plutôt tard. J’avoue avoir « raté » la première vague du web entre 1995 et 2005… avant de plonger, et de me mettre à l’internet et au digital en mode web 2.0. C’était en 2005, 10 ans après pas mal de monde. Bon ok, tu vas me dire que je me suis bien rattrapé depuis. Ce n’est pas faux. La deuxième chose que je vais t’avouer c’est que même aujourd’hui, ça m’arrive d’être un peu largué avec certaines nouvelles technologies, avec certains concepts. Et oui, ça peut te sembler fou, mais ça m’arrive souvent. Donc bonne nouvelle, si ça t’arrive à toi aussi, tu n’es pas tout seul. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais

Communication Non Violente et réseaux sociaux, c’est possible selon vous ? Ou sommes-nous malheureusement sur une pente inexorable ? Selon Wikipedia, la communication non violente (CNV) est une méthode de communication où ce sont « le langage et les interactions qui renforcent notre aptitude à donner avec bienveillance, et à inspirer aux autres le désir d'en faire autant.» Et sur les réseaux sociaux, on peut arriver à communiquer de façon non violente en mettant au coeur d’une communication consciente des valeurs comme l’empathie, l'authenticité et la responsabilité ? On peut y arriver ? Seriously ? Pour bien comprendre ce que l’on peut faire pour y arriver, l’invitée du podcast est Lucie Leger, coach professionnelle d’équipe. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles, c’est ici https://smartlink.ausha.co/ledigitalpourtous

Et si pour parler de prospective, on commençait tout simplement par la définition du Larousse : « La prospective est une science ayant pour objet l'étude des causes techniques, scientifiques, économiques et sociales qui accélèrent l'évolution du monde moderne, et la prévision des situations qui pourraient découler de leurs influences conjuguées. » Et si on complétait cette définition du Larousse avec les mots de Gaston Berger, le créateur de la Prospective en 1958 : “... il faut aujourd’hui beaucoup plus qu’hier former des hypothèses audacieuses, reposer en termes nouveaux d’anciens problèmes, essayer des chemins où personne ne s’est encore engagé. L’avenir n’est pas à attendre mais à construire et, par conséquence, d’abord à inventer. » La prospective ? Elle est utilisée par les entreprises, en sociologie, recherche médicale, militaire… Sont-elles suffisamment audacieuse pour imaginer le monde de demain et s’y préparer ? Pas si simple, pas si simple. Et si l’on met en perspective les évènements de ces 2

Il n’y a pas que l’argent qui fait le bonheur, même s’il y contribue ! Quand on a la chance d’avoir un travail, on devient plus regardant sur ce que ce travail nous apporte au delà d’une rémunération, d’une place dans la société, des opportunités de se développer, de grandir et d’évoluer aussi. Quand on a la chance d’avoir un travail, ou que l’on est certain d’en trouver un autre facilement, on devient exigeant en matière de travail et l’on recherche le plus souvent que ce travail ait un sens pour nous. C’est certes très subjectif, parce que le sens au travail n’est pas forcément le même pour tous, mais c’est très important pour de plus en plus de personnes de travailler pour ce qui fait sens pour chacun. Et quand on a le sentiment de ne plus trouver de sens dans son travail, on fait quoi ? On lâche l’affaire ? On se casse ? On va chercher s’il y a mieux dehors ? On file sa dém ou on s’accroche, et on cherche à revisiter le sens de son travail, à redonner du sens à son travail ? Alors, retrouver du se

Si l’on en croit la 3ème édition du baromètre 2021 CSA/Havas Paris sur le rapport des Françaises et des Françaiss au podcast natif, l’écoute de podcasts natifs concerne désormais 1 tiers des Français âgés de 18 à 64 ans, un chiffre en évolution de 10% entre 2019 et 2021. Bonne nouvelle, le podcast a mis du temps à s’installer dans les habitudes des Français mais le pli semble être pris. Et si on se concentrait un peu sur celles et ceux qui font que les podcasts existent ? Sur celles et ceux qui créent avec beaucoup d’envie et de plaisir ces petites capsules audio dont les Français commencent à raffoler ? Et si on se posait la question de savoir comment ces créateurs de contenu audio peuvent vivre de leur passion ? Et s’il y avait la possibilité de s’éloigner de la pub et de faire payer ses auditeurs pour le contenu ? Ca vous parait difficile ? En tant qu’auditeur, vous n’êtes pas prêts à rétribuer les créateurs de contenus ? En tant que podcasteur ou podcasteuse, ça vous semble super risqué ? Pour en sa

« La vie est la somme de tous vos choix. » Cette citation n’est pas de moi, elle est d’Albert Camus. Mais pourquoi fait-on ce qu’est l’on fait ? Pourquoi choisit-on certaines voies, certains raccourcis, certains chemins de traverse aussi et parfois certaines impasses ou voies sans issues ? Pourquoi hésite-t-on, de temps en temps, à faire des choix ? Si dans tout choix il y a renoncement(s), que dire alors d’un fait de ne pas choisir ? Le non choix en est-il un ? Un vrai ? Et qu’est ce qui a motivé les choix que nous avons fait jusqu’à maintenant ? Et comment se préparer pour prendre de meilleures décisions sur les choix que nous allons être amenés à prendre dans 10 minutes, dans deux heures, dans 3 semaines, dans deux mois ? Et si c’était par la somme de nos choix que l’on trouvait finalement ce qui nous définit au plus profond de nous-même ? Bonne pioche, pour y voir clair sur toutes ces questions, et bien comprendre ce que change la somme de tous nos choix, l’invitée du podcast est Sophie Guignard,

En 20 ans, les nouvelles technologies se sont invitées partout et dans toutes les entreprises. Avec le numérique les points d’entrée et de relation entre un client et une entreprise se sont multipliés. Les consommateurs veulent accéder à l’entreprise à tout moment et par tous les canaux. Les entreprises ont dû se convertir à l’omnicanal après s’être mise au multicanal. S’adapter ou périr! Et parce que le client roi est devenu très exigeant, il veut en plus un niveau de service au top, il veut être reconnu et attend d’être servi comme un pacha. A force de lui avoir dit qu’il était ROI ! Et du côté des centres d’appel, il s’est passé quoi ? Du côté des centres d’appels, ils sont devenus des centres de relation clients. Au delà d’un changement de nom, c’est tout un secteur qui a basculé. Comment ? En s’emparant de la tech, de la data, de l’Intelligence Artificielle, de l’automatisation des process pour mieux servir la relation client. Avec la tech, la relation client a pris un coup de jeune. Un coup de j

French tech par ici, French Tech par là. Depuis fin 2014, on entend  un peu partout ce vocable de French Tech. Si l’on en croit Wikipédia, « French Tech est un label officiel attribué par les autorités françaises à des pôles métropolitains reconnus pour leur écosystème de startups, ainsi qu'une marque commune utilisable par les entreprises innovantes françaises. ». La mission de la FrenchTech ? Faire de la France un des pays les plus attractifs au monde pour les startups qui veulent se lancer, partir à la conquête des marchés internationaux et bâtir un avenir qui ait du sens.  « La French Tech » : c’est le mouvement français des startups. Un écosystème unique qui réunit des startups, des investisseurs, des décideurs et des community builders. A ce jour, le réseau French Tech se compose de 121 entités à travers le monde dont 13 capitales et 45 communautés en France, ainsi que 63 communautés à l'international. La French Tech est devenu bien plus qu’un label alors. Mais concrètement, ça change quoi d’être labell