Bonjour Ppc

French tech par ici, French Tech par là. Depuis fin 2014, on entend  un peu partout ce vocable de French Tech. Si l’on en croit Wikipédia, « French Tech est un label officiel attribué par les autorités françaises à des pôles métropolitains reconnus pour leur écosystème de startups, ainsi qu'une marque commune utilisable par les entreprises innovantes françaises. ». La mission de la FrenchTech ? Faire de la France un des pays les plus attractifs au monde pour les startups qui veulent se lancer, partir à la conquête des marchés internationaux et bâtir un avenir qui ait du sens.  « La French Tech » : c’est le mouvement français des startups. Un écosystème unique qui réunit des startups, des investisseurs, des décideurs et des community builders. A ce jour, le réseau French Tech se compose de 121 entités à travers le monde dont 13 capitales et 45 communautés en France, ainsi que 63 communautés à l'international. La French Tech est devenu bien plus qu’un label alors. Mais concrètement, ça change quoi d’être labell

S’il y a bien un métier que l’on peut citer quant à son agilité à mettre en scène les dirigeants des marques ou les produits de l’entreprise avec subtilité vis à vis des journalistes et des influenceurs, c’est le métier des professionnels des relations presse. Avant, c’était finalement assez simple quand on travaillait dans les RP. Il suffisait d’avoir la fibre communicante, de se tenir au courant de ce qui intéressait les journalistes, de les appeler, de les rencontrer pour mieux faire connaitre l’entreprise et espérer avoir un « papier ». Avec le digital, la place du contenu est prioritaire et le métier des RP est devenu plus complexe : augmentation des médias à disposition, augmentation du nombres de personnes expertes sur un sujet, augmentation des problématiques… et du côté des clients des budgets et des délais de plus en plus contraints ! Avec le digital, avec la vitesse de propagation de l’information, pour le meilleur comme pour le pire, avec la multitude de médias, les micro-crises à gérer (m

Selon Wikipédia : “GPT-3 est un modèle de langage développé par la société OpenAI annoncé le 28 mai 2020 et ouvert aux utilisateurs via l'API d'OpenAI en juillet 2020. Au moment de son annonce, GPT-3 était le plus gros modèle de langage jamais entraîné avec 175 milliards de paramètres. GPT-2, sorti en 2019, n'avait que 1,5 milliard de paramètres.” Tu te poses la question de qui se cache derrière OpenAI ? Toujours selon Wikipédia : “OpenAI (« AI » pour Artificial Intelligence, ou Intelligence artificielle) est une entreprise spécialisée en intelligence artificielle, basée à San Francisco. L'objectif de cette société est de promouvoir et développer une intelligence artificielle à visage humain qui bénéficiera à toute l'humanité. OpenAI a mis au point une intelligence artificielle capable d'écrire des articles de presse et des œuvres de fiction. Reposant sur un générateur de texte qui assimile les mots reçus et détermine la suite la plus logique qu'elle retransmet dans le même style, elle s'avère particulièr

Le terme “Sparring Partner”, tu connais ? Selon Wikipédia, le terme “Sparring-partner » est un anglicisme utilisé pour désigner un partenaire d'entraînement notamment dans le milieu de la boxe et du tennis. Le rôle du « Sparring Partner » ? Faciliter le travail de son « élève » notamment en termes de caractéristiques et qualités se rapprochant de celles de l’adversaire à rencontrer. Le “Sparring Partner” est l’élément indispensable des progrès de l’athlète. Et dans le contexte professionnel ? Un chef d’entreprise a-t-il besoin d’un Business Sparring Partner ? Pourquoi faire ? Comment le choisir ? Que faut-il attendre de ce partner qui n’est ni un coach, ni un consultant mais un partenaire vraiment expérimenté et focalisé sur l’atteinte d’objectifs, quels sont les écueils à éviter ? Quelles bonnes pratiques ? Pour bien comprendre ce que ça change pour un dirigeant d’avoir un Business Sparring Partner, l’invitée du podcast est Laura Bokobza, CEO de LBK Consulting et Business Sparring Partner de chefs d’

Selon Wikipédia, “La psychologie positive ne doit pas être confondue avec la pensée positive basée sur l'autosuggestion”. “La psychologie positive s’intéresse surtout à la santé, à la qualité de vie et au bien-être, à ce qui rend les humains résilients, heureux, optimistes, plutôt qu'aux sources des psychopathologies… La psychologie positive étudie ce qui donne un sens à la vie.” Pour échanger sur l’importance de la psychologie positive dans cette ère digitale, dans cette ère du travail à distance, dans cette ère du travail par écrans interposés et pour bien comprendre ce que change la psychologie positive pour de vrai et son impact comme outil de management et de leadership au service de la performance, l’invitée du podcast est Christelle Martin, créatrice de lien(s) et de Relations Humaines. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles, c’est ici https://smartlink.ausha.co/ledigitalpourtous

Avec la quasi généralisation du télétravail dans les entreprises, les salariés qui peuvent en bénéficier apprennent, pas à pas, à travailler quelques jours de la maison et quelques jours du bureau. On appelle ça travailler en mode hybride. Si ce n’est pas toujours très simple pour les collaborateurs, ce n’est pas simple aussi pour les managers. Comment manager en mode hybride, en mode physique et digital à la fois, en mode phygital avec certains collaborateurs physiquement présents sur le lieu de travail et d’autres en télétravail de chez eux ? Et comment manager alors qu’il y a désormais, à tout moment, quelqu’un à distance. Pour nous donner les clés pour bien manager en mode phygital, l’invité du podcast est Vincent Mendès, CEO et co-fondateur d’Aster, une solution logicielle qui lutte contre la réunionite et auteur des 7 commandements du manager pour des équipes efficaces, engagées et alignées... même à distance, un ouvrage paru aux éditions Dunod. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur

S’il y a un média qui sait nous parler, c’est bien la radio. La radio ? C’est le média avec lequel la magie de la voix nous ouvre les portes d’une relation régulière, d’une relation de proximité avec des rendez-vous qui nous accompagnent et rythment notre vie. Comme dans de nombreux secteurs, le digital a tout changé pour celles et ceux qui travaillent dans ce média, mais aussi pour ceux qui consomment la radio. Vous avez connu le choc du passage des grandes ondes à la FM ? Vous allez adorer le passage de la FM au DAB+ avec une meilleure qualité sonore et plus d’informations sur les programmes. Le futur de la radio ? Il sera probablement fait avec plus de personnalisation dans les programmes, plus d’affinité dans les contenus, plus d’interactions avec les auditeurs et entre les auditeurs avec des écritures plus audacieuses peut-être… Quelles sont les fondamentaux qui vont demeurer et quels sont les grands changements en cours et à venir ? Pour mieux comprendre la grande transformation du média rad

Ca t’est déjà arrivé de décrocher ton téléphone pour appeler le service client d’une entreprise et de te rendre compte que ton interlocuteur ne maitrise pas vraiment ta langue et semble te répondre au milieu du brouhaha d’un plateau téléphonique qui parait se situer à l’autre bout du monde ? Ça t’est déjà arrivé ? Oui ? Alors bien sûr, tu te dis que c’est le sens des choses. Tu te dis que les entreprises ont petit à petit externalisé leur service client à l’étranger, là où les salaires sont beaucoup moins élevés. Tu te dis qu’avec le digital dans un monde utra-connecté, il est facile pour une entreprise de faire des économies, de faire le choix de faire appel à des bataillons de « télé-conseillers » souvent diplômés, qui ont appris à parler notre langue à l’école et qui demandent un salaire beaucoup mais beaucoup moins élevé que le salaire chargé d’un travailleur français. Et pourtant. Et pourtant, certaines entreprises reviennent à un service client made in France, avec des collaborateurs qui travaillen

Ca ne t’a pas échappé, nous ne sommes pas tous égaux devant une feuille blanche. Quand certains ont la plume facile pour poser leurs idées, écrire, rédiger… d’autres ont vraiment du mal à se lancer dans l’écriture. Et sur les réseaux sociaux ? Sur les réseaux sociaux, la règle des 90, 9, 1 est toujours d’actualité : 90% des gens consultent, 9% commentent et 1% produisent du contenu. Cette règle est toujours la même depuis le début du Web 2.0, le web collaboratif. Tu te poses alors la question de savoir comment font ces 1% de personnes qui produisent, écrivent du contenu… parfois tous les jours ? Et ça change quoi d’écrire tous les jours sur les réseaux sociaux ? Et ça a quel impact sur LinkedIn par exemple ? Pour bien comprendre ce que ça change d’écrire tous les jours sur LinkedIn et comment il faut s’y prendre, l’invitée du podcast est Nina Ramen, fondatrice de la Manufacture du Copywriting. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles, c’est i

On entend souvent que le digital est un gros consommateur d’énergie et pourrait déjà représenter 4% de la consommation d’énergie globale. Et si planter des arbres était LA solution pour lutter contre le dérèglement climatique et sauvegarder la biodiversité ? La COP26 appelle ça les "solutions fondées sur la nature". Mais, si on ne change rien en amont, pourra-t-on compenser à l’infini nos activités ? Planter des arbres, restaurer une forêt c’est avant tout rétablir les services écosystémiques que fournit la forêt : l’approvisionnement en eau potable, l’exploitation de bois, de sources d’alimentation et d’habitats pour de nombreuses populations, la formation et la stabilisation des sols aussi. Mais tout ceci n’est peut-être pas aussi simple qu’il parait. Une étude affirme même que la plantation d’arbres dans des zones de prairies sans couvert forestier pourrait libérer des réserves de carbone au lieu d'en stocker. Pour y voir clair et échanger sur la reforestation, l’invité de cet épisode du podcast est Frédér

Le podcast, tu le sais c’est mon dada. Je me suis jeté dans le bain il y a 5 ans et j’ai testé de nombreux formats. J’ai testé la production de podcast au format classique enregistré en studio radio avec des pros (avec ingénieur du son et tutti cuanti). J’ai testé le podcast en format court, en format long, j’ai testé l’interview en mode intime, l’interview avec plusieurs invités, l’interview à plusieurs avec un ou plusieurs invités.. j’ai testé le format ultra-monté comme le format en live avec ce supplément d’interaction grâce aux participants au direct. Le podcast, c’est mon dada et probablement le tien aussi parce qu’il y a toujours de belles découvertes à faire et le principe de l’abonnement à un podcast est toujours une belle aventure. Quelles nouveautés en 2022 ? Quelles nouvelles voix ? Quelles nouvelles écritures ? Quelles innovations grâce à la technologie ? Qu’est ce qui change dans le game et quelles nouvelles perspectives ? Les radios vont-elles une nouvelle fois remporter la mise ? Les ind

Tu te rappelles comment tu gérais ton rapport au temps et au travail il y a à peine 5 ans ? 

Si tu fais partie des salariés dont l’entreprise ne permettait pas le télétravail à l’époque, ton rapport au temps et au travail était probablement très simple à gérer parce que très routinier. Un temps de transport pour se rendre au bureau, un petit café avec les collègues et hop tu étais parti pour quelques heures de boulot avant un déjeuner rapide à la cantine, ou au resto, voire en panier repas, avant de ré attaquer les sessions de travail et de réunions, avant de fermer ton ordinateur et de repartir chez toi avec ton moyen de transport habituel. 

Avant c’était simple le rapport au temps et au travail. On faisait même attention à ne pas mélanger le temps pro et le temps perso. 

Et maintenant ? Après ces mois de travail en ligne, avec le développement du travail en mode physique et digital, quelques jours par ici et quelques jours par là, le rapport au temps et au travail est devenu protéiforme, parfois plus com

Selon Wikipedia, le divertissement est l’activité qui permet aux êtres humains d'occuper leur temps libre en s'amusant et de se détourner ainsi de leurs préoccupations. 

Et maintenant que l’on sent poindre le développement des Metaverses auprès du grand public, quelles nouvelles opportunités pour nous divertir dans ces mondes immersifs ? Spectacles, concerts, aventures, nouvelles expériences 3D, narrations immersives, interactives et créatives… Les champs des possibles pour les as du divertissement sont probablement infinis. Et dire que nous n’avons pour l’instant rien vu de ce que cela sera dans 10 ans. Et dire que nous n’en sommes pour l’instant qu’au début du déploiement de ces nouveaux univers où vous êtes le héros, spectateur et acteur, d’une réalité organisée par d’autres.

Mais Papa, si l’on passe notre temps dans les Metaverses pour nous détourner de nos préoccupations, on va vouloir y passer notre vie ? L’avenir nous le dira mon enfant, mais en attendant, les marchands de rêve sont en train d’affûte

Ca ne t’a pas échappé, la consommation de produits numériques explose depuis de nombreuses années. Et avec toutes ces nouveautés technologiques, la tentation est grande de changer régulièrement de téléphone, de changer d’ordinateur, de tablette avec la folle envie d’acheter un nouveau modèle tout neuf. 

Mais ça ne t’a pas échappé aussi que toute une chaîne de valeur s’est mise en place pour racheter et récupérer les objets numériques dont certains ne veulent plus pour les remettre en état, en bon état afin de les re-proposer à la vente à celles et ceux qui ne recherchent pas le modèle dernier cri parfois hors de prix et cherchent au contraire la bonne affaire avec un bon rapport qualité / prix. 

On appelle ça le refurb, le reconditionnement, et c’est un business très rentable qui, selon certains, serait en plus plutôt vertueux en matière de bilan carbone. 

Pour mieux comprendre ce que ça change pour de vrai de reconditionner nos devices , l’invité du podcast est Mohamed Sefane, CEO & Founder des Artisa

Et si en quelques heures, tu te mettais à créer des applications informatiques ? Et si on pouvait créer des applications sans savoir écrire une seule ligne de code ? Et si toi, moi et toutes les personnes qui ne sont pas ingénieur, qui ne sont pas développeur informatique, toutes les personnes qui ne savent pas coder, pouvaient réaliser de façon simple une application qui leur permet de répondre à un besoin, à une problématique ou encore leur permettait d’automatiser des taches répétitives nécessaires pour travailler mais consommatrice de temps et sans réelle valeur ajoutée, à part te faire faire le boulot de ce que pourrait faire tout seul un robot ?

Imagine si tout d’un coup, chacun d’entre-nous pouvait créer l’application informatique de notre choix sans avoir besoin de maitriser un langage complexe. Imagine que cela puisse se faire aussi simplement que lorsque l’on construit une maison, un château où une ville avec de simples briques de Lego.

La bonne nouvelle, c’est que c’est aujourd’hui possible. Ça s

En octobre 2012, il y a presque 10 ans, je publiais sur mon blog de l’époque un billet intitulé « Êtes-vous Slashgen ? » et j’en profitais pour monter un groupe de plus de 610 personnes sur Facebook et permettre aux Slasheurs et slasheuses d’échanger et de se rencontrer. 

La slashgen ? C’est une génération de personnes qui, comme moi, et comme peut-être toi, ont une vie à plusieurs facettes. A la fois une vie professionnelle ET une vie perso ET une vie sur les réseaux sociaux ET une vie créative ET une vie choisie… Slash Slash Slash. / / /

Les #SlashGen ont une vie multiple, cumulant chaque facette en même temps ou presque. 

Si les slasheurs sont souvent des profils atypiques, des profils qui n’aiment pas rentrer dans les cases, des profils qui donnent l’impression de papillonner… comment vivent-ils dans le monde de l’entreprise ? Et comment l’entreprise vit avec ces drôles d’oiseaux ?

Vaut-ils mieux faire semblant de ne pas les voir, leur faire la chasse parce qu’ils sont trop différents… ou, au contrair

Tu te rappelles ? Il y a quelques années on prédisait la mort de l’e-mail. On disait que l’e-mail était un média dépassé, qu’il allait mourir face aux nouvelles façons de communiquer avec les médias sociaux, face à la multitude de moyens d’information de tous genre, face à son caractère jugé parfois désuet.

Guess what? Rien ne s’est passé comme prévu. Loin d’être mort, l’e-mail se développe comme un moyen génial de créer un lien direct entre un émetteur et ses abonnés via le média newsletter. En riposte à la tyrannie des algorithmes des réseaux sociaux, les médias, les marques et les créateurs de contenus de toutes sortes ont dépoussiéré le format newsletter. Qu’elle soit en version gratuite ou payante la newsletter possède tous les atouts d’un média choisi, d’un média attendu par son lecteur, les atouts d’un média qui respecte parfaitement la RGPD.

Pour bien comprendre comment le média Newsletter change la relation avec les lecteurs et comment s’y prendre pour réussir sa newsletter, les invités du podcast

Et si la Data et l’intelligence artificielle étaient sources d’opportunités pour les DRH et leur permettaient de relever enfin le défi de savoir mieux repérer les talents cachés des collaborateurs de l’entreprise ? 

La Data intelligence serait-elle LA solution pour trouver facilement le candidat idéal en interne ? La Data Intelligence couplée à un peu d’intelligence artificielle serait-elle le moyen pour les entreprises de pouvoir réellement s’appuyer sur leur véritable capital social, le savoir-faire de leurs collaborateurs basé sur leurs expériences en entreprise, mais aussi sur leurs activités extra-professionnelles ? La Data Intelligence permettra-t-elle à la DRH de demander à Jean-Jacques de la compta, comptable depuis 17 ans, de former ses collègues à la prise de parole en public, parce que la data intelligence a repéré que Jean-Jacques joue au théâtre depuis 5 ans et a fait une magnifique représentation devant une salle comble samedi dernier ? 

L’alliance de la Data Intelligence avec les Ressources H

L’Open Transport, tu connais ? C’est une démarche qui s’inscrit dans le cadre de l’Open Data. Il s’agit pour les entreprises du transport d’ouvrir leurs données afin de permettre à d’autres de générer de la valeur. 

Un exemple pour mieux comprendre ? Si je te dis City Mapper, cette application magique qui te permet de trouver instantanément le trajet le plus rapide pour te rendre à une adresse en te proposant les meilleures solutions en temps réel en métro, en bus, en taxi, en trottinette, en vélo et même en taxi… C’est un exemple rendu possible grâce à l’Open Transport.

Comment ça fonctionne l’Open Transport ? Ca change quoi dans le modèle du transport ? Pour bien comprendre ce qui se passe en coulisse, les enjeux, les cas d’usages, les bonnes pratiques et les perspectives, l’invité du podcast est Bertrand Billoud, Head of marketing communication chez Kisio Digital et fin connaisseur de l’Open transport. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles,

Vous avez remarqué comme parfois un e-mail d’un collègue peut vous mettre dans un état de rogne ou de léger énervement parce que vous y avez décelé une pique, un jeu d’acteur, ou une crasse… ? Ça vous est déjà arrivé d’être particulièrement énervé à la lecture d’un mail ? Ça vous est déjà arrivé de sortir d’une réunion ou d’une discussion professionnelle avec de l’agacement, de l’énervement, du dépit parfois ?  Devinez quoi ? Ce qui se passe dans ces cas-là touche à vos émotions. Les émotions ? Ces choses que l’on vous a peut-être appris à ne pas montrer au bureau ? Et si faire appel à votre intelligence émotionnelle, exprimer vos émotions, dire ce que l’on ressent, oser une parole courageuse était une approche à considérer pour vivre mieux dans le monde professionnel ?  Et pour vous, vos collègues, vos collaborateurs et même votre patron, ça changerait quoi ? Pour y voir clair et bien comprendre ce que l’intelligence émotionnelle change au travail et quels sont ses impacts, l’invitée du podcast est Lucie